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avranches infos : l'actualité politique, économique, culturelle et insolite sur Avranches et ses environs. Voire même plus loin ... (administrateur et photo : François Groualle au festival de Glastonbury / UK)
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11 février 2013

Doc, Doc, Doc, Entrez! - 10ème édition du festival du film documentaire à Villedieu-les-Poêles - du 19 au 24 février 2013

Doc, Doc, Doc, Entrez! Villedieu festival film documentaire 2013L'industrie du cuivre et la fonderie de cloches font la renommée Villedieu-les-Poêles.
La commune située au carrefour des pays de l'avranchin, saint-lois et virois est reconnue aussi pour ses animations culturelles, notamment pour son festival du film documentaire «Doc, Doc Doc, entrez
La manifestation, qui se déroulera du 19 au 24 février 2013 au Villedieu-Cinéma, célèbrera sa dizième édition.

Une quinzaine de longs et courts métrages seront diffusés tout au long de la semaine.
Le passage du Tour de France dans le sud Manche (étape Avranches - le Mont-Saint-Michel, mercredi 7 juillet 2013, a donné l'idée aux organisateurs de présenter une thématique sur le cyclisme avec la projection de deux courts métrages (Vas-y Lapébie ! et Vive le Tour, samedi 23 février)
Une carte blanche sera confiée au cinéaste Patrick Leboutte qui proposera trois documentaires sur le thème de la folie (dimanche 24 février).

A noter une fois encore l'excellent visuel réalisé par le graphiste local Daniel Jan.

le programme (synopsis en fin de billet) :

  • Mardi 19 février :
    20h45 > L’heure de la piscine
    20h45 > Alfred Nakache, le nageur d’Auschwitz
  • Mercredi 20 février :
    18h15 > Bons baisers de la colonie
    20h45 > Sans effort apparent
    20h45 > Le ping
  • Jeudi 21 février :
    18h15 > Boxing gym
    20h45 > Comme un seul homme
    20h45 > Noble art
  • Vendredi 22 février :
    18h15 > Apéritif-rencontre
    20h45 > Le Moindre centime
  • Samedi 23 février :
    10h00 > Rencontre avec Jean-Louis Le Tacon
    14h30 > Les inconnus de la Terre Traces
    14h30 > Traces
    16h45 > Cinégénie de la bicyclette :  Vas-y Lapébie ! et Vive le Tour
    18h15 > My sweet hooligan
    20h45 > Sugar man
  • Dimanche 24 février - Carte blanche à Patrick Leboutte : « Le cinéma est une histoire de fous » :
    10h00 > Histoires autour de la folie (1ère partie)
    14h30 > Regard sur la folie
    16h00 > Histoires autour de la folie (2ème partie)
    18h00 > Pot de clôture


Billetterie :
Entrée tarif plein : 5 €
/ Entrée tarif réduit (- 16 ans, chômeurs, RMIstes) : 4 €
La carte d’abonnement habituelle reste valable.
Carte Pass festival 20€ (une entrée à toutes les séances)
Carte pass 4 entrées 10 €


site internet : www.villedieu-cinema.fr


synopsis des films :

L'Heure de la piscine - 28 minutes de Valérie Winckler - 1995
Images limpides, fluidité des mouve- ments, éclat de Ia couleur, c’est d’abord ce que le spectateur perçoit de ce film de Valérie Winckler photographe venue au cinéma : mais ce bain où joue la trans- parence des silhouettes est un bain révé- lateur. Ces corps graciles sont habités par de graves questions : l’attente de l’amour, le désir de réussite, la peur de
l’avenir...
Le passage à l’adolescence est fait d’hésitations, d’interrogations, d’envols et de craintes. À quoi rêvent les jeunes gens et les jeunes filles d’un lycée de la région parisienne en 1995 ?

Alfred Nakache, le nageur d'Auschwitz - 52 minutes de Christian Meunier - 2001
Alfred Nakache est né le 18 novembre 1915 à Constantine, en Algérie. Très vite, il se fait remarquer pour ses exceptionnelles qualités de nageur. En 1931, il devient champion d’Afrique du Nord. En 1943, il est arrêté par la Gestapo et transféré à Drancy avec sa famille. Il est ensuite déporté à Auschwitz où sa femme et sa fille vont trouver la mort. Transféré à Buchenwald, il sera libéré en 1945. De retour en France, il reprend aussitôt l’entraînement et redevient champion de France à 31 ans...
mardi 19 février 20 h 45
Rencontre avec des responsables de la semaine de la mémoire

Bons baisers de la colonie - 1h14 de Nathalie Borgers - 2012
1926, Suzanne nait de l’union entre un administra- teur territorial belge et une femme rwandaise, en pleine époque coloniale. A 4 ans, son père l’em- barque vers la Belgique pour qu’elle y reçoive une éducation européenne. Elle est ce que les milieux
bien-pensants appellent « une enfant métisse sauvée d’un destin nègre ». Le père de Suzanne est aussi le grand-père de
la réalisatrice qui découvre, à l’âge de 27 ans,
l’existence de sa tante Suzanne. Le film croise
l’histoire familiale et l’histoire coloniale.
Suzanne est arrachée à ses racines, comme
plusieurs milliers d’autres enfants le seront
dans un silence total. D’autres, bien plus nom-
breux, furent tout simplement abandonnés sur place, conséquence dans les deux
cas d’une politique basée sur la ségrégation raciale. L’histoire unique de Suzanne est aussi celle des autres enfants et fait partie d’une page de notre Histoire sur laquelle un tabou pèse encore aujourd’hui.

Sans effort apparent - 23 minutes de Bernard Bloch - 1996
Sous l'œil de son entraîneur américain, John Smith, nous assistons à une journée de travail ordinaire de Marie-José Pérec. Déjà prestigieux avant les Jeux Olympiques d’Atlanta en 1996, le palmarès de cette championne s'est encore
enrichi avec ses victoires sur 200 et 400 mètres. Ce documentaire aborde l'entraî- nement sous un angle inhabituel. Rythmé par le souffle de l'athlète, il nous mon- tre l'effort, la tension, mais aussi le relâchement, nécessaires pour amener le spor- tif à l'apogée de sa forme les jours de grandes compétitions. Ce film fonctionne comme un gros plan et un ralenti sur la préparation des sportifs de haut niveau. C'est l'observation de l'ultime montée en puissance qui précède le déclenche- ment de la course.

Le ping - 1h05 de Anne Faisandier - 2012
« Klaus, Marion, Jamal, Rolland, Isabelle, Noé et moi jouons au ping-pong. Nous sommes très différents. L'âge, le métier, les raisons pour lesquelles nous sommes là à jouer sont multiples ».
Dans ce film chaque joueur est étudié sous toutes ses coutures. On entend sa voix, on écoute ses pensées.
Un film aux je/jeux multiples.

Boxing Gym - 1h31 de Frederick Wiseman - 2011
Austin, Texas. Richard Lord, ancien boxeur professionnel, a fondé son club de boxe Lord's Gym, il y a seize ans. Des personnes d'origines et de classes sociales et d’âge différents s'entrainent dans ce gymnase : hommes, femmes, enfants, médecins, avocats, juges, hommes et femmes d'affaires, immi- grants, boxeurs professionnels ou aspi- rants professionnels côtoient de sim- ples amateurs et des adolescents en quête de force et d'assurance.
Le gymnase est une illustration du "melting pot" à l'américaine où les gens s'entraînent, se parlent, se rencon- trent...

Comme un seul homme - 15 minutes de Jean-Louis Gonnet - 2001
Dans le huis-clos d'un vestiaire, des rugby-
men se livrent aux derniers rituels. Baume
aux corps, échauffement des âmes tout
entières tendues dans l'attente du combat.
Le propos n'est pas uniquement de filmer
la préparation d'une équipe de rugby,
mais également d'en faire sentir la dimen-
sion humaine, individuelle et collective, au travers des rituels cachés.

Noble art - 1h20 de Pascal Deux - 2003

Ancien champion du monde de boxe, Fabrice Bénichou, qui avait raccroché les gants, décide de remonter sur le ring. C'est tout autant le besoin d'argent que le désir de retrouver une gloire évanouie qui le poussent à tenter ce come-back. Au fil des étapes le menant au championnat d'Europe, se révèle derrière le boxeur, un homme en proie à ses doutes et ses contradictions.

Foot girafe - 20 minutes de Jean Rouch - Niger - 1974
Filmer est un plaisir auquel Jean Rouch s’adonna toute sa vie, saisissant au bond toute occasion, en l’occurrence ici une publicité pour la Peugeot 504. Tout à la fois reportage parodique et vraie fantaisie sportive, Foot Girafe offre une version sahélienne d’un célèbre jeu de ballon, où le cinéaste s’amuse à inscrire l’absurde dans l’ordre des réalités possibles.

Le moindre centime - 1h15
de Erika Haglund et Benjamin Serero - 2012
Liliane, Wilfried, Elodie, Haddou. Des visages, des voix, des portraits.
Sur le bureau de Martine, l’assistante sociale qui les accompagne, ils posent une demande de bons alimentaires, une facture impayée. Ils racontent le chômage, la difficulté à élever leurs enfants et parfois leur colère.
Les saisons passent. On marche, on roule, on avance sans avancer. La chorale, le karaté, un emploi saisonnier, chaque jour est un jour de lutte.

Atelier Jean-Louis Le Tacon
Depuis 5 ans, à l’occasion du festival, Patrick Leboutte anime une rencontre avec un cinéaste invité. Alice Diop, Denis Gheerbrant, Nicolas Philibert, Marc-Antoine Roudil furent ainsi ses partenaires impliqués. Cette année, il a choisi de dialoguer avec un documentariste inclassa- ble, au parcours poétique atypique comme à l’humour décalé presque belge (un comble pour un Breton) : Jean-Louis Le Tacon, auteur d’un film cultissime, Cochon qui s’en dédit.
Jean-Louis Le Tacon est en effet un drôle de paroissien : séminariste défroqué puis maoïste hagard et désordonné, touche à tout de l’art vidéo puis laborantin du numérique (autrement dit un inventeur de formes), il fut par ailleurs un des premiers à introduire le geste documen- taire dans l’enseignement des écoles d’art en France, à la fin des années 1980.
En 1979, poussé dans le dos par Jean Rouch, il commet son premier méfait terroriste : un petit film Super 8, tourné l’air de rien (sa marque de fabrique), qui reste à ce jour l’un des grands scandales du documentaire français. Etait-ce de l’art ou du cochon ? Ce sera à vous de voir. Le Tacon, quant à lui, ne connaît pas de remords, vivant des jours paisibles dans le Poitou, en retraité ludique, où il termine de mijoter une trilogie sur la vie à la campagne dont il nous fait l’honneur (ou la honte) de présenter en avant-première un épisode. A nos risques et périls.

Cochon qui s’en dédit - 37 minutes de Jean-Louis Le Tacon - 1979 - prix Georges Sadoul 1980
« Quarante minutes au sein d’un élevage industriel de porcs. Il y a Maxime, emmuré seul avec mille bêtes assourdissantes. Il y a des tombereaux de merde, il y a ses rêves inavouables. Il n’y a rien d’autre à voir, il y a seulement à éprouver. Pendant trois ans, Jean-Louis Le Tacon filme la raison économique comme une machine de mort, l’histoire d’un type qui doit d’abord sauver sa peau. Mais lui appartient-elle encore, sa peau ? C’est le sujet : un corps souillé, essoré, sous une peau de porc. A sa sortie, en 1980, Cochon qui s’en dédit fit scandale. On ignorait alors à quel point il préfigurait les temps que nous vivons, telle une métaphore implacable. Semblable réquisitoire, en effet, appelle à repenser notre monde » Patrick Leboutte.
Le film s’appelle voilà - 23 minutes
de Jean-Louis Le Tacon - 2012
« Poême foudroyant, précipité d’une rencontre entre Groucho Marx et Alain Cavalier, le Film s’appelle voilà fait le récit de la construction d’un petit poulailler à la campagne. Devant ces images tournées avec un iPad, nous sommes placés dans l’étrangeté et l’inéluctabilité de notre condition d’humains, jetés au ras de la terre face aux saisons et aux ani- maux. Rires et pleurs authentiques inévitables » Matthias Chouquer.
En présence de Jean-Louis Le Tacon et Patrick Leboutte Samedi 23 février 10 h

Les inconnus de la Terre - 35 minutes
de Mario Ruspoli - 1961
« Cratères, causses, cavernes. La Lozère : le plus réussi des pays désolés, admirable en carte postale, comme tous les enfers refroidis. Sur cette terre vaine, peu- plée mais pas habitée, une poignée d’hommes s’est accrochée. » Mario Ruspoli
« Mario Ruspoli a capté la voix des campagnes abandonnées. Avec leurs mots à eux, avec leurs visages et leurs gestes silencieux, il a fait parler les paysans les plus déshérités de France et nous reconnaissons soudain notre prochain dans ces hommes oubliés du siècle. » Simone de Beauvoir
Traces - 59 minutes
de Françoise-Eugénie Petit, Martin de la Soudière, Jean-Christophe Monferran - 2012
50 ans plus tard, un documentariste et deux ethnologues reviennent en Lozère, sur les lieux des Inconnus de la terre. Ils y retrouvent certains acteurs du film ou leurs descendants, évoquant non pas le temps passé, mais comment il a passé ou comment les traces de ce tournage vibrent encore dans le paysage.


Vélo et cinéma : rencontre entre deux arts populaires
« Cinégénie de la bicyclette », une intervention de Patrick Leboutte
Rien n’est plus cinématographique qu’une compétition cycliste tant ce qui touche dans une course est ce qui émeut dans un grand film : le parcours, la traversée d’un espace, avec ses résistances, ses incidents, le cheminement, la mise à l’épreuve de la réalité, quand entre le début et la fin tout a bougé. D’ailleurs, les classiques historiques du calendrier cycliste ne sont-elles pas contemporaines de l’avènement du cinéma, comme deux façons complémentaires de mettre en lumière les corps en mouvement ? Patrick Leboutte

Vas-y Lapébie ! - 27 minutes de Nicolas Philibert - 1988
Vainqueur du Tour de France 1937, Roger Lapébie, à ne pas confondre avec l’abbé Pierre, fut un des coureurs les plus aimés des années trente. Son portrait, que nous offre Philibert, retrouvant l’ancien coureur dans sa propriété landaise, vibrant d’une humanité chaleureuse, se veut d’abord un hommage à la culture populaire.
Vive le Tour - 18 minutes de Louis Malle - 1966
Un document exceptionnel sur le Tour de France 1966 remporté par Lucien Aimar, cou- reur du Var. Entre témoignages et faits de course, héroïsme et souffrances, 18 minutes pour entrer dans l’intimité des forçats de la route, au cœur même de la légende.

My Sweet hooligan - 1h07 de Jean-Marie Vinclair - 2012
« Lors d’un concert rock, je découvre par hasard les Lanskies.
Un électrochoc, comme si leur énergie réactivait
en moi un temps oublié. En écoutant la voix du
chanteur, Lewis Evans, j’ai l’impression de faire
resurgir un fantôme du passé, celui de Robert
Smith, le leader des Cure, mon idole des années 80.
A mesure que je le filme, une amitié se noue et je l’entraîne, malgré lui, dans le spleen de mon adolescence.
De répétitions en concerts, d’emplois précaires en déménagements, d’enregistre- ments en interviews, de fêtes en "gueule de bois", je partage pendant trois ans sa joie de vivre, explosive, insolente, ses galères et sa passion pour la musique. » JM Vinclair.
Ce film a bénéficié de l'aide au développement de la Région Basse Normandie avec le concours de la Maison de l’Image Basse-Normandie

Sugar man- 1h25 de Malik Bendjelloul - 2012 - VOST
Au début des années 70, Sixto Rodriguez enregistre deux albums sur un label de Motown. C'est un échec, à tel point qu’on raconte qu’il se serait suicidé sur scène. Plus personne n’entendit parler de Rodriguez. Sauf en Afrique du Sud où, sans qu’il le sache, son disque devint un symbole de la lutte contre l’Apartheid. Des années plus tard, deux fans du Cap partent à la recher- che de “Sugar Man”. Ce qu’ils découvrent est une his- toire faite de surprises, d’émotions et d’inspiration.


Dimanche 24 février : carte blanche à Patrick Leboutte :
« Le cinéma est une histoire de fous ».
« Le cinéma vise à raconter l’histoire de ceux qu’on n’entend pas, qui n’écrivent pas, à ren- dre audibles leur parole comme leurs récits, leurs rêves comme leurs révoltes. Tel était du moins la croyance de Pierre Perrault, de Jean Rouch ou de Mario Ruspoli, les pères du cinéma direct, au tout début des années 60. Au même titre que l’autiste (le moindre Geste), le paysan (les Inconnus de la terre) ou la classe ouvrière (Classe de lutte), le fou représentait alors l’Autre absolu, inatteignable. Pour un cinéaste du geste documentaire, que faire de cette altérité radicale sinon l’accueillir pour ce qu’elle restera toujours : un trouble interrogeant l’espèce humaine ? Il faut des plans pour cela, ce qu’on appelle des plans de cinéma, le plus hospitalier des arts » Patrick Leboutte
10h00 : Projection de Histoires autour de la folie, 1ère partie - 1h37
de Paule Muxel et Bertrand de Solliers - 1993
« C’est à la fois un extraordinaire document sur l’histoire de la psychiatrie en France et un passionnant témoignage sur les conséquences de l’enfermement pour les malades men- taux. La parole enfin libérée exprime froidement l’horreur du système asilaire. Le temps est laissé à chacun de confier son expérience personnelle. Ces multiples discours permettent peu à peu de reconstituer un véritable enfer concentrationnaire. Un enfer que parfois, on ne souhaite même plus quitter » (le Monde).
14h30 : Projection de Regard sur la folie - 47 minutes de Mario Ruspoli - 1962
« On estime à 40.000 le nombre de malades mentaux qui, de faim, de froid, de maladies et finalement d’abandon, périrent dans les hôpitaux psychiatriques sous le régime de Vichy, au point que certains purent comparer la condition asilaire de cette période à une « institution totalitaire ». Une seule clinique fit exception, à Saint-Alban, en Lozère, terre de la bête du Gévaudan et haut lieu de la Résistance en France. S’y inventèrent les bases de la psychothérapie institutionnelle et, avec Regard sur la folie, les fondations du cinéma direct. En off, la voix de Michel Bouquet, disant un texte d’Antonin Artaud, évoque évi- demment Nuit et brouillard et cela ne doit rien au hasard » Patrick Leboutte.
16h00 : Projection de Histoires autour de la folie, 2ème partie - 1h34 de Paule Muxel et Bertrand de Solliers - 1993
« Par leur écoute, leur questionnement obstiné et patient, les réalisateurs donnent voix à une détresse vibrante, universelle, que l’enfermement avait vouée à l’oubli, et au silence » (Télérama)
« Je vous dis combien j’ai été impressionné par le rapport tendu de la parole et des lieux vides » Gilles Deleuze, lettre aux réalisateurs.


François Groualle - avranches.infos
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