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avranches infos : l'actualité politique, économique, culturelle et insolite sur Avranches et ses environs. Voire même plus loin ... (administrateur et photo : François Groualle au festival de Glastonbury / UK)
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19 février 2014

opération d'effacement des barrages sur la Sélune : participez à l'élaboration du projet!

barrage Vezins SéluneLes barrages de la Sélune reviennent à l'actualité après de longs mois de silence.
Les deux barrages hydro-électriques (Vezins et la Roche-qui-Boit) avaient défrayé, pendant quelques années, la chronique locale à l'annonce de leur démentèlement le 13 novembre 2009 (lire le dossier ici).

L’opération d’effacement se traduira par la reconquête de 20 kilomètres de vallée actuellement ennoyée par les deux retenues de Vezins et de la Roche qui Boit.

Le Préfet de la Manche est chargé par le Ministre de mener à bien les opérations de démantèlement des ouvrages et de réhabilitation de la vallée de manière exemplaire, au plan technique, environnemental et dans l'accompagnement des acteurs locaux prenant en compte les enjeux déclinés en groupes de travail local.

Mi-2014, le projet d’effacement des barrages de la Sélune sera soumis à enquête publique, cette phase sera l’occasion de recueillir les avis de la population sur le projet, ses enjeux, ses impacts potentiels et les mesures compensatoires, correctives ou d’accompagnement proposées.
Sans attendre cette consultation, il est possible, jusqu’au 15 mars, de réagir :

  • sur le projet de gestion sédimentaire décrit dans le numéro spécial de la revue du projet (document 1 - en bas de ce post)
  • ou pour en savoir plus sur le projet technique global d’effacement des barrages de la Sélune (cf. document 2 - en bas de ce post)

barrage Sélune la Roche-qui-BoitAfin d’apporter des éléments complémentaires d’information sur ce projet et le choix retenu de supprimer ces ouvrages, il est possible consulter :

  • la note du Ministère de l’écologie et du développement durable et de l’énergie « Aménagement de la Vallée de la Sélune 10 questions/10 réponses  » avril 2012 (cf. document 3 - en bas de ce post)
  • et pour aller plus loin, le « scénario de référence – hors projet  » qui expose les enjeux qui se seraient imposés si le choix de maintenir ces ouvrages avait été retenu. (à venir)

Les réactions et commentaires peuvent être adressés

par courrier à
Madame la préfète
DDTM de la Manche, Mission Barrages de la Sélune
477 boulevard de la Dollée
BP 60355
50015 SAINT-LO CEDEX

ou par courriel :  ddtm-participation-selune@manche.gouv.fr

 

les dates à retenir :

  • 13 novembre 2009 : décision de Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, d'effacer les barrages
  • 21 février 2012 : confirmation du Ministère de l'écologie de la décision du 13 novembre 2009
  • 2016 : vidange barrage de Vezins
  • 2017 : démentèlement du barrage de Vezins et vidange du barrage de la Roche-qui-Boit
  • 2018 : démentèlement du barrage de la Roche-qui-Boit

sites et/ou liens internet utiles :


document 1 : la Sélune au long cours - journal de l'opération d'effacement des barrages de la Sélune
février 2014 - source : DDTM / Préfecture de la Manche

 

document 2 - opération d'effacement des barrages de la Sélune - Préfecture de la Manche - février 2014

 

document 3  - Aménagement de la vallée de la Sélune 10 questions / 10 réponses - avril 2012 - source : Ministère de l'Ecologie du Développement durable, des Transports et du Logement / Direction Général de l'Aménagement


François Groualle - avranches infos
twitterfacebook • googletumblrinstagram

 

Commentaires
L
J'aimerais que l'on puisse connaître ces études technique. Ou peut on les consultés,<br /> <br /> Car depuis 1924 bien des barrages ont était construit et des solutions ont était trouvées.<br /> <br /> Qui décide que c'est techniquement impossible à réaliser?<br /> <br /> Après tout se ne son que des poissons ils n'ont pas la parole alors on fait ce que l'on veut..<br /> <br /> Je pense que dans ce dossier on prend le genre humain pour incapable. <br /> <br /> Si l'intelligence humaine à était capable de développer l'eau pour tout le monde, je crois que cette intelligence est capable de créer un système permettant aux poissons de passer les barrages. Je pense aussi, que la dévalaison est peut être un peut plus complexe, quoique mais si l'on se donne de vrais moyen d'étude et réalisation pour ce sujet nous trouverons une voir des solutions.<br /> <br /> c'est pourquoi je demande à toutes personnes ayant des connaissances halieutique, de mécanique des fluides, des vitesses et pentes à respecter pour les alvins leurs permettant de migré sans perte excessive de ce faire connaître. <br /> <br /> Dans ces études à t il était fait des études sur la possibilité de créer des frayères en aval des barrages. Il y a environ 30 à 40 km de fleuve ou il peut être possible de créer ces frayères. Evidemment cela suppose une vrais concertation avec les riverains.<br /> <br /> Je demande la même chose pour la remontée des poissons.<br /> <br /> est il possible de faire simplement une écluse en fond de barrage pour permettre par un système de vanne amon et aval de faire pénétrer les poissons, d'ouvrir cette vanne pour les faire passer de l'autre côté. Régulation pression débit vitesse de l'eau sont des paramètre à maîtriser?<br /> <br /> Pour ce qui est de l'eutrophisation de l'eau en été je pense que c'est allé vite en besogne, car à ce moment là tout ce qui est lacs étangs mares et autre plan d'eau il y a longtemps que ceux ci n'auraient plus aucun poissons. <br /> <br /> En attendant je suis fier de ces lacs car ils représentent plus de possibilités de développement économique, écologique, épanouissement des populations du sud manche.
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P
Attention à ne pas faire comme si le cours du temps était réversible: la question il y a un siècle était assurément de savoir s'il était raisonnable ou pas de construire ces installations pour faire de l'électricité "en pointe" - aujourd'hui, c'est tout différent: veut-on maintenir ces 2 barrages en fonctionnement ou les arrêter et construire ailleurs l'équivalent? Si vous voulez la 2ème hypothèse, il faut additionner coûts de démolition et de remise en état de la Sélune et coûts de construction ailleurs de l'équivalent, barrage et STEP... Quel bénéfice environnemental ? quelle économie ? quelles pertes d'emplois?
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U
Un petit rappel historique pour ceux qui ne connaissent pas les obligations réglementaires auxquelles les barrages étaient soumis et jusqu'à ce jour non respectées. <br /> <br /> <br /> <br /> Par ailleurs et contrairement à ce qui affirmé dans certains articles de presse, il n'y a aucune solution pour permettre la migration des poissons malgré les efforts déployés par les services d'EDF (voir ci-dessous et dans le détail les conclusions des différentes études d'EDF rappelées dans le dossier d'enquête publique)<br /> <br /> <br /> <br /> Attention cependant, l'arasement de ces barrages n'est pas uniquement justifié par l'obligation de permettre aux poissons migrateurs de remonter sur leurs zones de reproduction et accomplir leur cycle de vie.<br /> <br /> <br /> <br /> 1 - Rappel historique des faits qui conduisent aujourd'hui à l'obligation d'effacement des barrages et de l'antériorité de la situation de non respect de la loi par les ouvrages. <br /> <br /> <br /> <br /> Excusez du peu et pour le moins "amusant" quant on lit sur le tract des Amis des Barrages, je cite : "Pendant que les pro-araseurs tentaient de contourner les règles ... , d'autres ont agi pour FAIRE RESPECTER LA LOI..." ! :<br /> <br /> <br /> <br /> • 1924 : classement par décret de la Sélune au titre de la libre circulation des poissons migrateurs. Ce classement imposait déjà la mise en place pour les deux barrages de dispositifs assurant la libre circulation des poissons migrateurs. Les études menées par EDF et les services de l’Etat ont conclu à l’impossibilité technique de réaliser de tels dispositifs.<br /> <br /> • 1986 : précision par arrêté ministériel des espèces pour lesquelles le classement précédent est effectif (Saumon atlantique, Truite de mer, Truite fario, Anguille d’Europe, Brochet, Lamproie marine, Lamproie fluviatile). EDF disposait alors d’un délai de 5 ans pour se conformer à ses obligations et se mettre aux normes, sans indemnité ni possibilité de déroger.<br /> <br /> • 1996 : approbation du Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) du bassin Seine-Normandie. Ce schéma vise entre autres les barrages de la Sélune et rappelle qu’il convient de s’orienter vers le non-renouvellement des concessions là où les conditions de libre circulation piscicole ne peuvent être respectées.<br /> <br /> • 2000 : La directive cadre européenne sur l’eau (DCE) vise la préservation et la restauration des milieux aquatiques et l’attente du bon état des eaux en 2015.<br /> <br /> Elle demande également de respecter les engagements pris en application des directives préexistantes, notamment la protection des habitats et des espèces aquatiques dans le cadre de Natura 2000. On observe à cet égard que la Baie du Mont Saint Michel, dont la fonctionnalité écologique est fortement dépendante des bassins qui s’y déversent, est en zone spéciale de conservation.<br /> <br /> • 2005 : prise de position par la commission locale de l’eau (CLE) sur le devenir des ouvrages en examinant l’impact de ces derniers sur l’eau et les milieux aquatiques. En effet, la CLE a défini trois objectifs centraux pour atteindre le bon état des eaux de son bassin :<br /> <br /> - Réduire les flux polluants d’origine agricole<br /> <br /> - Aménager le territoire<br /> <br /> - Préserver la faune et la flore des milieux aquatiques<br /> <br /> A ce titre, la CLE a préconisé de :<br /> <br /> - Mettre en place des programmes pluriannuels de restauration et d’entretien des cours d’eau<br /> <br /> - Décloisonner les cours d’eau<br /> <br /> - Restaurer l’axe migrateur qu’est la Sélune à la fin de la concession des barrages hydroélectriques de Vezins et de la Roche-Qui-Boit (2013).<br /> <br /> • 2006 : Loi sur l’eau et les milieux aquatiques (article L 214-17 du code de l’environnement) donnant le cadre juridique de la réouverture de la vallée, projet jugé d’autant plus pertinent que la dégradation de l’eau (eutrophisation, stockage de substances dangereuses) a été amplifiée par les barrages.<br /> <br /> • 2007 : fin de concession des barrages : approbation du SAGE de la Sélune par l’Etat et donc de l’effacement.<br /> <br /> • 2009 : Compte tenu de cet avis, de l’enjeu de circulation des poissons migrateurs sur la Sélune (notamment pour le Saumon atlantique et l’Anguille d’Europe) et de l’absence de possibilités techniques d’aménagement des ouvrages, et au vu des conclusions d’un groupe de travail piloté par le Préfet de la Manche, l’Etat décide, conformément à l’engagement pris dans le cadre du Grenelle de l’environnement, ne pas renouveler les titres administratifs des barrages de Vezins et de la Roche-Qui-Boit.<br /> <br /> Cette décision a été annoncée le 13 novembre 2009 à Lisieux par Mme Chantal JOUANNO, secrétaire d’Etat chargée de l’Ecologie, à l’occasion du lancement du plan d’action national pour la restauration de la continuité écologique des cours d’eau.<br /> <br /> • 2010 : inscription de la Sélune en Zone d’Action Prioritaire pour le rétablissement de la transparence migratoire dans le Plan de Gestion Anguille Français adopté par la Commission Européenne à Bruxelles en application du Règlement Européen sur l’anguille n° 1100/2007.<br /> <br /> • 2010 : Jugement de la Cour Administrative d’Appel de Nantes imposant de garantir le franchissement des poissons migrateurs d’ici à fin décembre 2013.<br /> <br /> • 2012 : arrêtés du préfet de la Manche concrétisant la décision de l’Etat.<br /> <br /> <br /> <br /> 2 - <br /> <br /> Après de nombreux échanges, le préfet de la Manche a pris le 26 juillet 2006 un arrêté de mise en demeure d’EDF d’équiper ses ouvrages pour la circulation des migrateurs, lui imposant de fournir dans les 6 mois un rapport technique précisant la nature et les modalités de fonctionnement des ouvrages à installer ou à défaut, toute justification technique sur l’impossibilité de les réaliser.<br /> <br /> EDF a fourni ce rapport le 25 janvier 2007, qui conclut comme les études précédentes à l’impossibilité d’assurer la franchissabilité des ouvrages. Les raisons de cette impossibilité résident dans la hauteur du barrage de Vézins (35m), l’étendue de sa retenue qui génère à la montaison comme à la dévalaison des retards et des pertes par prédation prohibitifs, l’impossibilité technique d’équiper pour la dévalaison cet ouvrage dont le type de turbines est responsable de 46 à 57% de mortalité des smolts cumulée sur les deux ouvrages.<br /> <br /> Après de nombreux échanges, le préfet de la Manche a pris le 26 juillet 2006 un arrêté de mise en demeure d’EDF d’équiper ses ouvrages pour la circulation des migrateurs, lui imposant de fournir dans les 6 mois un rapport technique précisant la nature et les modalités de fonctionnement des ouvrages à installer ou à défaut, toute justification technique sur l’impossibilité de les réaliser.<br /> <br /> EDF a fourni ce rapport le 25 janvier 2007, qui conclut comme les études précédentes à l’impossibilité d’assurer la franchissabilité des ouvrages. Les raisons de cette impossibilité résident dans la hauteur du barrage de Vézins (35m), l’étendue de sa retenue qui génère à la montaison comme à la dévalaison des retards et des pertes par prédation prohibitifs, l’impossibilité technique d’équiper pour la dévalaison cet ouvrage dont le type de turbines est responsable de 46 à 57% de mortalité des smolts cumulée sur les deux ouvrages.<br /> <br /> <br /> <br /> Moralité : <br /> <br /> Il ne faut pas toujours croire et prendre pour argent comptant ce qui écrit dans les journaux.<br /> <br /> Ainsi il est préférable de "gratter le vernis" pour se faire une idée personnelle et tenter d'objectiver les choses.<br /> <br /> <br /> <br /> Je reconnais que dans ce dossier complexe pour tout à chacun, ce n'est pas toujours facile de se faire une opinion quand certains élus locaux - de surcroit Député - n'ont eu de cesse que d'assainer des contre-vérités et tenter d'en tirer profit sur le plan politique, laissant croire que la décision pouvait être remise en cause.<br /> <br /> <br /> <br /> Rappelons enfin qu'EDF et aujourd'hui l'Etat, sont confrontés à la mise en demeure d'assurer la libre circulation au 31 décembre 2013 (Décision Cour Appel de Nantes 26 novembre 2010).
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M
Par soucis d'économie et de défense des énergie propres, c'est à dire renouvelables, je trouve aberrant de détruire ces barrages. J'ai l'occasion d'en parler avec beaucoup de gens et parmi ceux-ci, aucun n'est pour la destruction de ceux-ci. Si un référendum local était organisé, il est évident qu'une grande majorité de gens serait pour le maintien de ceux-ci.<br /> <br /> Pour préserver la migration de poisson, apparemment des solutions existent d'après l'article ouest France du 14 octobre dernier!
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A
Bonjour<br /> <br /> Voici ce que j'ai vu :<br /> <br /> Ce n'est pas aujourd'hui que le monde a commencé,<br /> <br /> Ce n'est pas aujourd'hui qu'il va finir.<br /> <br /> Il y avait un vieux avec ses fils.<br /> <br /> Il avait dix fils.<br /> <br /> Il prit dix brindilles et les attacha ensemble.<br /> <br /> Il donna ces brindilles à l'un de ses fils, il lui dit : "brise-les."<br /> <br /> Le fils ne put les briser.<br /> <br /> Alors il sépara les brindilles, il en donna une à chacun.<br /> <br /> Chacun put briser sa brindille.<br /> <br /> Alors le vieux leur dit :<br /> <br /> "Si vous êtes séparés vous voyez qu'on peut vous briser, mais si vous êtes unis personne ne pourra rien contre vous."<br /> <br /> C'est cela que j'ai vu<br /> <br /> moi je trouve stupide de détruire les barrages ce n'est que de l'argent gaspillée <br /> <br /> ne pensez vous pas aux générations futur <br /> <br /> Que verront ils s'il n'y a plus de poissons d'oiseaux ... le tourisme en moins !!<br /> <br /> Et la base de loisir quel désespoir !! le chômage en plus !!<br /> <br /> Sauvons Nos Barrages !! et Grandissons avec l'espoir !!<br /> <br /> une amie de nos belles campagnes au fil de l'eau
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U
Bonjour,<br /> <br /> Au delà de la décision de justice intervenue et du travail mené par la Commission Locale de l'eau - car cela s'est d'abord décidé localement sur le plan technique et politique - qui ont scellé l'avenir de ces ouvrages et qui ne peuvent être contestés, pour ceux qui connaissent le site la véritable question qui demeure au delà des problèmes environnementaux est l'accessibilité aux rives au public.<br /> <br /> Je mets quiconque aujourd'hui au défit de pouvoir, dans la plupart des cas, accéder aux retenues et encore moins de pouvoir en faire le tour au hasard d'une ballade familiale.<br /> <br /> Parmi les plus ardents défenseurs de ces ouvrages, il n'est pas surprenant d'y trouver ceux, de part la propriété qu'il possède en bordure, qui se sont approprié une partie du domaine public et en interdise l'accès. <br /> <br /> Le fond du débat porte sur les enjeux d'intérêt général et le projet de développement durable de la vallée que tous les acteurs du territoire devraient porter et considérer comme une véritable opportunité à saisir, plutôt que de se laisser instrumentaliser pour la défense d'intérêts particuliers et partisans.<br /> <br /> Il n'y va pas simplement de la préservation de la biodiversité, des poissons migrateurs ou de l'atteinte du bon état des eaux mais de l'avenir socio-économique d'une région dont chacun doit mesurer l'importance par les moyens susceptibles d'être mobilisés.<br /> <br /> La décision d'effacement est inéluctable, ne passons pas collectivement à côté.
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L
j'aimerais connaître le projet de remplacement prévu suite à l'effacement de ces barrages.<br /> <br /> Est-il aussi performant économiquement que la simple conservation de ces barrages.<br /> <br /> La conservation de ces barrages leur mise en valeur industriel, touristique, de loisir, et intellectuel, est source de revenu et de maintien d'une vie communal et associative en accord avec le développement durable et la non prolifération de l'effet de serre.<br /> <br /> Y LEMARCHAND
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J
La destruction est une honte : financièrement , ce sera un gouffre . De plus , la pollution agricole sera à son maximum , car non arretée et filtrée par le barrage ; donc <br /> <br /> l'eau sera moins pure qu'actuellement et l'on peut parier que la population de saumons sera moindre et le poisson blanc prendra le dessus et les silures se nourriront de salmonidés<br /> <br /> Cette décision est politique et prise par des élus incompétents et inutiles et des hauts fonctionnaires du même acabit<br /> <br /> Ou part notre argent ?<br /> <br /> Au fil de l'eau ...
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